Comment bien traiter une infection urinaire ?
Une infection urinaire peut atteindre plusieurs organes du tractus urinaire tels que les reins, la vessie, l’urètre. La plus fréquente est la cystite. Il s’agit d’une inflammation de la vessie causée par une bactérie, le plus souvent Escherichia coli. D’autres germes tels que protéus, klebsiella et serratia peuvent être incriminés. Les infections urinaires causent plus de 8,1 millions de consultations chaque année. Près de 10 femmes sur 25 sont touchées au moins une fois dans leur vie. Il s’agit surtout de femmes en période d’activité génitale. Les autres populations à risque sont les hommes, lors de l’installation des maladies prostatiques et les sujets âgés.
Quels sont les types d’infection urinaire et leurs symptômes ?
Il existe plusieurs types d’infection urinaire notamment l’urétrite qui est une atteinte de l’urètre, la cystite, la pyélonéphrite qui est une atteinte des reins… De manière générale, une infection urinaire se manifeste par des brûlures mictionnelles, des envies impérieuses d’uriner, des douleurs pelviennes chez la femme, une douleur rectale chez l’homme… On peut aussi retrouver une fièvre avec frissons, sueurs, fatigue intense et des douleurs lombaires unilatérales. Pour le traitement d’une infection urinaire, il est essentiel d’identifier le germe en cause grâce à l’examen cytobactériologique des urines.
Quels sont les modalités thérapeutiques d’une cystite ?
Le traitement d’une cystite peut se dérouler selon trois modalités thérapeutiques. Un traitement par prise unique : Cotrimoxazole, 3 comprimés à 800 mg, Pefloxacine 800 mg ou Fosfomycine, 1 sachet de 3 g. Le traitement en prise unique est prohibé en cas de récidive. Il est également prohibé chez des personnes atteintes de tares telles que le diabète et l’immunodépression. Pour réduire le risque d’échec, les mêmes antibiotiques peuvent être utilisés en traitement sur 3 jours. A côté du traitement médicamenteux, des mesures hygiéno-diététiques peuvent être prises. Il s’agit entre autres de boire suffisamment d’eau, d’aller régulièrement uriner, de corriger d’éventuels troubles du transit (constipation ou diarrhée), d’assurer une hygiène périnéale correcte. Certaines plantes ont la réputation d’agir sur les cystites. Il s’agit de la canneberge et de l’échinacée. Différents sites Internet proposant des astuces de la vie pratique pourront vous apporter un complément d’informations.
Quels sont les modalités thérapeutiques d’une cystite ?
Le traitement d’une cystite peut se dérouler selon trois modalités thérapeutiques. Un traitement par prise unique : Cotrimoxazole, 3 comprimés à 800 mg, Pefloxacine 800 mg ou Fosfomycine, 1 sachet de 3 g. Le traitement en prise unique est prohibé en cas de récidive. Il est également prohibé chez des personnes atteintes de tares telles que le diabète et l’immunodépression. Pour réduire le risque d’échec, les mêmes antibiotiques peuvent être utilisés en traitement sur 3 jours. A côté du traitement médicamenteux, des mesures hygiéno-diététiques peuvent être prises. Il s’agit entre autres de boire suffisamment d’eau, d’aller régulièrement uriner, de corriger d’éventuels troubles du transit (constipation ou diarrhée), d’assurer une hygiène périnéale correcte. Certaines plantes ont la réputation d’agir sur les cystites. Il s’agit de la canneberge et de l’échinacée. Différents sites Internet proposant des astuces de la vie pratique pourront vous apporter un complément d’informations.