Comment se porte l'immobilier de luxe en France ?
Depuis 2015, le marché de l’immobilier de prestige en France connait une ascendance dans certaines villes parmi l’une d’elle sa capitale Paris. Les prix de l’immobilier de luxe à Paris ne cessent de croître dépassant la barre des 9000 euros / m². Bien qu’étant jugé relativement élevé, ces prix ne sembleraient pas faire fuir les acquéreurs au contraire ils profitent de la stabilité monétaire et politique pour acheter. Mais ont-ils vraiment raison de dépenser autant dans l’immobilier de luxe? Quels sont les risques ?
L’immobilier, un secteur en plein essor en France
L’immobilier de luxe, grâce à plusieurs événements notamment la fluctuation du dollar octroyant un pouvoir d’achat grandissant à l’Europe et le changement de régime politique en France, a pu se développer progressivement. Aussi, il faut noter que des décisions de certaines institutions telles que le Banque Centrale Européenne (BCE) ont contribué à ce boom à travers la politique de diminution des taux immobiliers.
Voilà les raisons pour lesquelles d’après plusieurs agences, les volumes de ventes n’ont cessé d’augmenter. D'où la nécessité pour tout acquéreur de disposer des meilleurs contacts en matière d’immobilier. Ainsi, pour faciliter vos recherches et sécuriser vos démarches, cliquez ici pour contacter une agence spécialiste de l'immobilier de prestige.
Quelques contraintes
Malheureusement, plusieurs aspects techniques et financiers sont souvent négligés ou ignorés. Ce qui peut provoquer un gros écart par rapport au budget initial prévu. Pour commencer, sachez que lorsque vous faites appel aux services d’un agent immobilier, il s’en dégage une indemnité d’immobilisation qui n’est rien d’autre qu’une avance de 5 % et 10 % du prix de l’immobilier. Les droits de mutation ou encore frais de notaire dépendent de l’état du bien. S’il est neuf, les frais avoisinent 2% et 3% mais s’il s’agit d’une ancienne maison, cette indemnité tournera autour de 7% et 8%. A tout cela s’ajoute des charges supplémentaires comme les impôts locaux et les coûts liés au crédit.